Sensibilité, détecteurs de touche à aimants
Petite mise en garde: Si vous n’avez pas l’âme d’un bricoleur, abstenez-vous d’ouvrir vos détecteurs. . .
La détection des touches par un détecteur, se fait généralement par une roue qui entraine, soit un disque plus ou moins ajouré (coupant le flux lumineux d’une cellule photoélectrique), soit par des aimants qui ont pour effet d’activer ou désactiver un circuit par “bilames“. Sans oublier le système de palpeur sur lequel le fil glisse, provoquant une vibration qui déclenche le détecteur (le summum de la détection).
Les détecteurs “bas de gamme” n’ont pas plus d’un ou deux aimants sur une roulette, qui est entrainée par le fil qui passe dessus, lors d’une touche.
Je vous propose d’ajouter deux aimants, et ainsi arriver à 4 mises en contact possible, lors d’un tour de molette, nous passerons ainsi d’un centimètre de sensibilité, à 5 millimètres.
Aimants de 3mmx2mm
Tout d’abords Il faut vous procurer de petits aimants (3 mm∅ x 2 mm), sachant qu’il en faudra 2 par appareil, c’est donc 8 qu’ils vous en faut; comme il sont vendu par 50, voyez avec des potes pour faire un achat pour tous.
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Voilà le détecteur choisi pour cet exemple:
Il s’agit d’un détecteur de fabrication chinoise et assez répandu dans le commerce, sous diverses appellations. |
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 Voilà le logement de la molette avec un aimant apparent, et la cellule à bilame. |
La molette, ses deux petites plaquettes guides (indispensable pour le centrage et la bonne rotation de la molette, à ne pas égarer !) On voit bien un seul aimant, sur les deux logements… |
L’insertion de l’aimant se fait en force (mais délicatement), cette manipulation ne pose pas de problème particulier.
Il ne vous reste plus qu’à bien remonter le tout, et vous avez un détecteur qui a doublé sa capacité à détecter les mouvements de votre bannière.
Vous pouvez toujours venir poser des questions sur la page Facebook (La carpe, le cheveu, la bouillette).
Bonnes Pêches.
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